Le vent tait humide, un prlude au dluge certainement. Il fesait nuit, noire, profonde, que l'on aurait cru qu'elle ne laisserait jamais place au matin. J'avanais, sachant parfaitement ce que je fesais, mme si, sans savoir o je me menais. Il s'agissait de ne pas trbucher sur une stle ou autres branchages, l'opration qui m'aurais parue fastidieuse il y a quelques temps encore, ne relevait plus d'aucun dfi prsent. Je ne savais mme pas si le jour m'aurait permis une telle vision, il est probable que non.
Je concevais qu'il tait trop trop tard, plus de retour en arriere possible. Bien qu'on ne m'en n'ai pas laiss le choix, j'aurais pu, peut tre d mourrir. Ne connaissant que trop bien le monde dans lequel j'voluais, les consquences dsastreuses qu'il pouvait m'apporter, non, qu'il "allait" m'apporter serait plus raliste, je m'y enfoncais. C'tait ce fameux plongeon, dans les eaux noires, ce lac monstrueux, un ocan lui tout seul, une porte d'entre n'ouvrir sous aucun prtexte. Mais certains camps n'ont pas de rgles relles, soit le plus fort dominant, soit l'espri le plus perfide, ni plus, ni moins.
C'est ainsi que je rejoins le second, avec toute la faiblesse du monde, une fuite dsespre, une alternative la faucheuse, seuls les pires savent retrouver le chemin qui mne au couloir sombre, et se vendre, purement. Devenir mnes tout de mme, se faire avoir, tout perdre, se laisser faire ou se lever contre lui. Cette bataille cruelle reste uniquement un marchandage, celui qui encaisse le mieux aura droit une meilleure place mais cela est tout. C'est ainsi, que l'on pouvait encore me voir certaines nuits vacquant divers horripilations, la
recherche perpetuelle de l'impossible, seul capable de ressortir toute la faiblesse en haine, cet impossible qui m'avait en quelque sorte priv de tout, m'offrant en contre-partie mon tat actuel.
Te rends-tu compte l"impossible" ? Mon esprit s'en va ! te rends-tu compte l"impossible" ? Il s'en-va ! L'enveloppe seule ne sert rien si elle n'est accompagne de l'esprit, mon corps se meurt, certaines choses ne fonctionnent que par deux, je te perds, je meurs, sans toi je perds de mon discrtionnaire sur ma propre vie ! Ce manque est impossible combler, sans toi jusqu'o continuerais-je cette dscente ? Arrete donc cette prtrition sur mon appelle ! Te rends-tu compte l'"impossible" ? Je serais l mme si tu saigne l, il faudrait que tu me vienne l, il faudrait que tu me revienne.
Je concevais qu'il tait trop trop tard, plus de retour en arriere possible. Bien qu'on ne m'en n'ai pas laiss le choix, j'aurais pu, peut tre d mourrir. Ne connaissant que trop bien le monde dans lequel j'voluais, les consquences dsastreuses qu'il pouvait m'apporter, non, qu'il "allait" m'apporter serait plus raliste, je m'y enfoncais. C'tait ce fameux plongeon, dans les eaux noires, ce lac monstrueux, un ocan lui tout seul, une porte d'entre n'ouvrir sous aucun prtexte. Mais certains camps n'ont pas de rgles relles, soit le plus fort dominant, soit l'espri le plus perfide, ni plus, ni moins.
C'est ainsi que je rejoins le second, avec toute la faiblesse du monde, une fuite dsespre, une alternative la faucheuse, seuls les pires savent retrouver le chemin qui mne au couloir sombre, et se vendre, purement. Devenir mnes tout de mme, se faire avoir, tout perdre, se laisser faire ou se lever contre lui. Cette bataille cruelle reste uniquement un marchandage, celui qui encaisse le mieux aura droit une meilleure place mais cela est tout. C'est ainsi, que l'on pouvait encore me voir certaines nuits vacquant divers horripilations, la
recherche perpetuelle de l'impossible, seul capable de ressortir toute la faiblesse en haine, cet impossible qui m'avait en quelque sorte priv de tout, m'offrant en contre-partie mon tat actuel.
Te rends-tu compte l"impossible" ? Mon esprit s'en va ! te rends-tu compte l"impossible" ? Il s'en-va ! L'enveloppe seule ne sert rien si elle n'est accompagne de l'esprit, mon corps se meurt, certaines choses ne fonctionnent que par deux, je te perds, je meurs, sans toi je perds de mon discrtionnaire sur ma propre vie ! Ce manque est impossible combler, sans toi jusqu'o continuerais-je cette dscente ? Arrete donc cette prtrition sur mon appelle ! Te rends-tu compte l'"impossible" ? Je serais l mme si tu saigne l, il faudrait que tu me vienne l, il faudrait que tu me revienne.

dice:
I love drummers! Thanks for the sweet comment hotie!