jack_razor:
La suie coule sur les sombres verrousDu bois noir transsudant sa colereVois les parois lisses et glissantes et l'equilibre ephemereL'obscurite luit par les orificesS'evanouit avec la plus grande decadenceEncerclant la bete prisonniereEntre peur et rage indompteeQui transpire de chaque pore de louvertureSon souffle frappe le bois, charge de la moiteur crasse des murs qui l'entourentTombeau sans promesse de lumiereQui m'eblouit de sa malveillanceEtouffante et majestueuseLambeau de l'esprit tapi dans l'antreAux reflets torteuxAsylum caveQue ce silence qui dechire et consume l'edificeAux multiples visages dormantsDeformes de souffrances indiciblesHappes et dchires au crepuscule de l'ouvertureAsylum caveLes oppressantes chaines de L'inavouableDevenant poussiere a meme le solLaissant delivre ce qui ne doit l'etre