"Between each dish there was a hole, the hole Norman, with a glass of brandy who threw the fire into the body and madness in the mind."
"Entre chaque plat on faisait un trou, le trou normand, avec un verre d'eau-de-vie qui jetait du feu dans le corps et de la folie dans les ttes."
"Then he had to drink the first glass of brandy of rincette, the second push of rincette, and the third kick in the ass"
"Puis il lui fallut boire le premier verre d'eau-de-vie de la rincette, le second du pousse-rincette, et le troisime du coup-de-pied-au-cul"
"Women, whose opinion was based on poetry rather than on observation, maintained that love, true love, best love, could not come only once a mortal, that it was like thunderbolt, this love, and one heart touched by it then remained so empty, ravaged, burned, no other strong feeling, even no dreams, there could form again. "
"Les femmes, dont l'opinion s'appuyait sur la posie bien plus que sur l'observation, affirmaient que l'amour, l'amour vrai, le grand amour, ne pouvait tomber qu'une fois sur un mortel, qu'il tait semblable la foudre, cet amour, et qu'un coeur touch par lui demeurait ensuite tellement vid, ravag, incendi, qu'aucun autre sentiment puissant, mme aucun rve, n'y pouvait germer de nouveau."
Maupassant, Contes de la Bcasse
"Entre chaque plat on faisait un trou, le trou normand, avec un verre d'eau-de-vie qui jetait du feu dans le corps et de la folie dans les ttes."
"Then he had to drink the first glass of brandy of rincette, the second push of rincette, and the third kick in the ass"
"Puis il lui fallut boire le premier verre d'eau-de-vie de la rincette, le second du pousse-rincette, et le troisime du coup-de-pied-au-cul"
"Women, whose opinion was based on poetry rather than on observation, maintained that love, true love, best love, could not come only once a mortal, that it was like thunderbolt, this love, and one heart touched by it then remained so empty, ravaged, burned, no other strong feeling, even no dreams, there could form again. "
"Les femmes, dont l'opinion s'appuyait sur la posie bien plus que sur l'observation, affirmaient que l'amour, l'amour vrai, le grand amour, ne pouvait tomber qu'une fois sur un mortel, qu'il tait semblable la foudre, cet amour, et qu'un coeur touch par lui demeurait ensuite tellement vid, ravag, incendi, qu'aucun autre sentiment puissant, mme aucun rve, n'y pouvait germer de nouveau."
Maupassant, Contes de la Bcasse